Quelques erreurs d’appréciation, quelques fautes de
bienséance arbitrales, quelques attitudes relevant plus de la parano que de
l’activité bénévole, enfin quelques propos hors de la présence des intéressés
qui ont fait dégénérer une ambiance qui aurait voulu être bon enfant. Le
présent signataire est un officiel Ufolep en possession de son livret de
formation, titulaire des diplômes O1 et A2, ayant travaillé à certains
documents en CNS dont les règlements techniques. formateur et tuteur. Première
erreur : Je l’appellerai d’appréciation. Les tablettes de tir du stand de
Quesnoy sont solidaires et entraînent une vibration de l’ensemble lors des
rechargements dans les règles du pistolet ou du revolver. Ce phénomène fait
partie des conditions de match. Un, (des ?) tireur se plaint que les télescopes
et lunettes d’approche soient dérangés par les rechargements .lorsque les
compétiteurs forcent les balles dans les canons. Rappel : on peu tirer
indifféremment à balles calepinées ou à balles forcées. La décision prise par
l’arbitre ( je ne puis le nommer officiel, il n’a pas de diplôme requis), n’est
pas de dire qu’il appartient au tireur d’assurer et d’assumer les problèmes qui
ne relèvent pas directement du tir, en prévoyant un pied de sol par exemple,
mais de modifier les us et coutumes du rechargement des armes de poing. Les
usages en la matière sont directement liées à la sécurité : le minimum de
manipulation de l’arme lors des rechargement, le maintien du canon en zone safe
(sécurisée), la limitation des risques de chute du matériel –ce qui se comprend
lorsque vous tirez avec une arme d’époque-. L’arbitre décide donc que les
pistolets seront Chargés en dehors de la tablette. Arme tenue d’une main
refouloir et maillet des l’autre… CETTE DECISION VA À L’ ENCONTRE CONFORT DU
PISTOLIER, RISQUE D’ENDOMMAGER LES ARMES EST EN CONTRADICTION AVEC LES REGLES
DE SECURITE INVITANT LE TIREUR A RECHARGER SYSTEMATIQUEMENT SON ARME CANON
DIRIGE VERS LE HAUT OU VERS LES CIBLES ; AVEC QUATRE ELEMENTS DANS LES MAINS/
L’ARME, LA BALLE, LE REFOULOIR, ET LE MAILLET BONJOUR L’EXERCICE ! Non content
d’imposer une consigne potentiellement dangereuse, ce monsieur se permet des
commentaires péjoratifs sur un tireur sorti du pas de tir, pas un débutant, il
est titulaire de deux titres nationaux consécutifs, qui n’a pas obéi a une
consigne qu’il jugeait dangereuse et en contradiction avec les usages du tir au
pistolet arme ancienne. NON UN ARBITRE NE PEUT SE COMPORTER COMME CELA, NON UN
ARBITRE N’A PAS À COMMENTER NI À DISCUTER SUR LE PAS DE TIR. De plus madame
Choquet avait remis la feuille des commandements officiels à lire par le
responsable de pas de tir en début de série. En l’absence de pratique et de
connaissance l’arbitre ne peut que lire ce qui est écrit . L’emploi de formule
du type « l est interdit de charger l’arme avec la main qui tien l’arme »
N’existe pas surtout lorsque cela veut dire que l’arbitre demande que le chien
du revolver soit mis en position d’armé par le pouce de la mains faible( main
qui ne tient pas l’arme en direction de la cible lors du tir. Cet arbitre s’est
trouvé face à un tireur confronté à un incident de tir : il n’avait a faire
aucun commentaire tant que la sécurité n’était pas mise en cause, il existe un
règlement qui donne dix minutes au tireur pour tirer cinq balles POINT ;
monsieur l’arbitre n’est pas technicien de surface destiné à faire le ménage :
son rôle, certes sans gloire : assurer la sécurité et l’équité en se faisant
couleur muraille. / Monsieur Valéry, champion national 2005 et 2006 ne vous
porte pas dans son cœur monsieur l’arbitre et si un des ses coéquipiers à
dépassé les bornes dans ses paroles, vous étiez hors de compétence dans la
gestion de ce pas de tir. En tant que Président de la Société de tir de
Faremoutiers, je vous présente les excuses de l’association pour les paroles
outrées proférées à votre égard, je conserve toutefois le souvenir d’un de vos
courriers lorsque j’étais cadre technique CNS 25 mètres qui n’est pas a votre
gloire et constate que votre attitude est la même depuis ce temps . Christian
PETIT Les paragraphes entre // sont écrit en témoignage par monsieur Christian
Valéry, double champion de France UFOLEP en Pistolet, secrétaire d’association,
et supporter d’une autre idée du sport.
//Annotation écrite par Monsieur Christian VALERY: Premier
point : Même si le tireur commet une infraction,- sortir son arme avant les
ordres-, par mégarde et par empressement pour ne pas retarder la série de
match,l ’arbitre n’est pas obligé d’agresser de façon arrogante et hautaine, ce
même tireur pour lui faire remarquer son erreur. Une simple réflexion, méritée,
pour le cadrer dans les règles établies auparavant aurait suffi. N’oublions pas
ce qui fait la différence dans l’idée du sport et de la compétition UFOLEP : LE
RESPECT DANS LA CONVIVIALITE Idée qui a été brillamment reprise lors des
discours de clôture par Alain Nédélec, et malheureusement largement oubliée par
l’arbitre en question. Deuxième point : Pour être totalement cohérent dans le
respect des règles de sécurité et du bon déroulement de la compétition : Est-il
tout à fait normal d’autoriser à la septième minutes de match, de ranger ses
armes et son matériel, occasionnant une gène supplémentaire à l’ambiance
imposée dès le début du match, et au mépris des règles de sécurités auxquels
nous tenons tous, alors qu’il me restait donc trois minutes pour tirer mes
trois dernières balles. Outre les problèmes techniques mettant, à mon sens, en
péril la sécurité du pas de tir, outre le fait de ma petite personne, outre le
fait que mon match de championnat de France soit détruit par des décisions tout
à fait arbitraire, et des réflexions désobligeantes, il n’en n’est pas moins
extrêmement désagréable, d’avoir entendu, tout au long de la compétition, de la
part d’autres tireurs, avec lesquels des relations d’amitiés sportives se sont
liées, ces mêmes réflexions revenant du même pas de tir. Cet arbitre peut donc
se glorifier d’avoir perturbé et mis mal à l’aise bon nombre de tireurs//.
Christian VALERY
//se permettant même d’envoyer les arbitres pour relever les
cibles, alors que l’arme était encore potentiellement dangereuse puisque
chargée. Ce n’est que sous les remarques de ses collègues attentifs, qu’ils ont
attendus, que l’arme soit déchargée et sécurisée./